ACTUALITES
30
Mars
2023
Mini-forêt en devenir à l’école Jacques-Brel
Ce jeudi 30 mars matin, les enfants des classes de CP, CE1 et CE2 de l'école Jacques Brel ont planté une centaine de cannes de saules, avec l'aide des services techniques de la Ville de Roncq. Des cannes qui vont vite grandir, pour se transformer en petits arbres dans les deux prochaines années, puis en arbres de belle taille d'ici cinq ans.
« Notre objectif est de créer une mini-forêt, qui constituera à terme un écran végétal, entre la cour de l'école et la rue Henri Barbusse. On fabrique ainsi un écrin qui isole aussi la cour du voisinage », explique Christophe Dumont, directeur des services techniques de la Ville de Roncq. « Le saule est le mieux adapté pour ce projet : c'est un arbre local, qui résiste à la chaleur, absorbe bien l'humidité, et à la croissance rapide. »
Redévelopper la biodiversité
Comme de nombreuses collectivités, Roncq soutient la renaturation et la végétalisation des espaces bitumés des écoles. Une nécessité pour faire face au réchauffement climatique.
Dans cette perspective, soit on retire le bitume, soit on replante. C'est cette deuxième solution qui a été retenue à Jacques Brel. But de l'îlot végétal mis en place : ombrager la cour et de ce fait, limiter la réverbération de la chaleur accumulée par le macadam, qui se reflète sur les murs de l'école.
« Mais ces arbres en devenir vont également permettre de développer la biodiversité, en accueillant insectes et oiseaux », poursuit Christophe Dumont.
Une faune que les enfants pourront observer de près, en regardant pousser la canne que chacun d'eux a plantée. Et sur lesquels ils vont veiller de près durant les semaines et mois à venir, en arrosant – juste comme il faut – ces futurs arbres grâce aux deux arrosoir qui leur ont été confiés par les services techniques.
« Notre objectif est de créer une mini-forêt, qui constituera à terme un écran végétal, entre la cour de l'école et la rue Henri Barbusse. On fabrique ainsi un écrin qui isole aussi la cour du voisinage », explique Christophe Dumont, directeur des services techniques de la Ville de Roncq. « Le saule est le mieux adapté pour ce projet : c'est un arbre local, qui résiste à la chaleur, absorbe bien l'humidité, et à la croissance rapide. »
Redévelopper la biodiversité
Comme de nombreuses collectivités, Roncq soutient la renaturation et la végétalisation des espaces bitumés des écoles. Une nécessité pour faire face au réchauffement climatique.
Dans cette perspective, soit on retire le bitume, soit on replante. C'est cette deuxième solution qui a été retenue à Jacques Brel. But de l'îlot végétal mis en place : ombrager la cour et de ce fait, limiter la réverbération de la chaleur accumulée par le macadam, qui se reflète sur les murs de l'école.
« Mais ces arbres en devenir vont également permettre de développer la biodiversité, en accueillant insectes et oiseaux », poursuit Christophe Dumont.
Une faune que les enfants pourront observer de près, en regardant pousser la canne que chacun d'eux a plantée. Et sur lesquels ils vont veiller de près durant les semaines et mois à venir, en arrosant – juste comme il faut – ces futurs arbres grâce aux deux arrosoir qui leur ont été confiés par les services techniques.
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